Le kiosque.
Le kiosque.
Le kiosque et deux disques solaires ailés sur l'architrave et la corniche à gorge.
Le sol de la couverture du toit est différente de celle qu'exigeait les lois physiques. Les dalles du plafond, qui devaient joindre un mur à l'autre ou une architrave à un mur, procurent, d'un point de vue théologique, une protection insuffisante contre les forces hostiles qui tentent de dissocier les éléments organisés de l'œuvre divine ou humaine. Il a donc fallu revêtir ces éléments, imposés par la technique architecturale, d'un lit de pierres taillées très irrégulièrement, sans doute pour arrêter les influences nuisibles. Cet appareil varié de pierres, présentant des décrochements, a été employé dès la première dynastie dans le cimetière archaïque de Hélouan pour remédier aux catastrophes causées par l'emploi de blocs de trop grandes dimensions. On avait constaté, en effet, qu'une paroi monolithique était beaucoup plus sûrement renversée par la poussée des terres qu'un mur solidement lié par des angles rompant des lignes droites. Il est probable que cette constatation a donné à cette technique de maçonnerie une valeur religieuse. Ensuite, il n'a plus été question d'y changer quoi que ce soit et on l'a appliquée, comme tant d'autres, jusqu'à la fin du paganisme égyptien.
Le toit de la salle hypostyle est la partie la plus élevée de Dendara. Les marches anciennes ont été détruites, mais Baraize a installé un escalier de fer fort commode sinon très esthétique. Depuis 2008 il était interdit de monter sur le toit de la salle hypostyle.
Les soins apportés à l'évacuation des eaux sont aussi remarquables. Une pente légère, très visible sur le profil des rebords, conduit toute l'eau du toit de la salle hypostyle, sur celui de la salle Ousekhet-khâ et de celui-ci sur la partie la plus basse d'où elle était évacuée. Mais l'eau du ciel ayant une origine sacrée -très différente de l'eau du Noun primordial qu'amenait le Nil- on la faisait passer à travers des portes sculptées dans le mur d'enceinte jusqu'à des gouttières en forme de têtes de lion qui la crachaient dans le couloir entourant le temple, d'où quelques trous d'écoulement dirigeaient cette eau vers l'extérieur.
La deuxième porte monumentale, située au Sud, qui permettait de pénétrer dans le domaine sacré de la déesse.
Le mur d'enceinte en brique crue protégeait le temple de la déesse Hathor.
Passage interdit pour accéder au toit de la salle hypostyle.
La deuxième porte monumentale, située au Sud, qui permettait de pénétrer dans le domaine sacré de la déesse.
Le mur d'enceinte en brique crue protégeait le temple de la déesse Hathor.
Le mur d'enceinte en brique crue protégeait le temple de la déesse Hathor.
La deuxième porte monumentale, située au Sud, qui permettait de pénétrer dans le domaine sacré de la déesse.
Le mur d'enceinte en brique crue protégeait le temple de la déesse Hathor.
Le mur d'enceinte en brique crue protégeait le temple de la déesse Hathor.
Le mur d'enceinte en brique crue protégeait le temple de la déesse Hathor.

Les tombeaux osiriaques, avaient été placés sur le toit, comme à Philae et comme à Edfou. Les salles osiriaques du toit sont tout à fait indépendantes du temple d'Hathor. L'une s'ouvre sur le couloir qui forme la dernière volée de l'escalier Ouest, l'autre du côté exactement opposé à l'Est. Les deux comprennent les mêmes éléments: une cour carrée à ciel ouvert, une première salle ouverte par une porte et deux fenêtres et une seconde salle s'ouvrant dans la première et prenant jour extérieurement que par une lucarne au milieu du même plafond.
                                          Le tombeau osiriaque de l'Est dans la cour carrée.

 Processions des nomes sur la partie basse du mur de la salle osiriaque.
 Corniche à gorge décorée du disque solaire ailé.
 Porte donnant dans la cour.
 Porte d'entrée et deux fenêtres de la salle osiriaque.
Salle osiriaque.
Au-dessus de la porte et sur l'architrave nous avons deux représentations du dieu Osiris.
Décoration de la corniche à gorge avec deux bâ du dieu.
Décoration de la corniche à gorge avec deux bâ du dieu.
Porte qui a permit d'accéder dans la cour
La salle osiriaque.
Un bâ.
Deux bâ.
Deux bâ.