Sur le mur Sud se trouve figurée l'opération de police de l'an 8 ou de l'an 9 de Séthy menée au pays Irem sous la responsabilité du vice-roi de Kouch Amenemopè. La partie droite du mur montre une longue procession de tributs offerts au roi assis sur son trône. Le prince héritier Amon-her-ounemef présente au roi le vice-roi de Kouch Amenemopè fils de Paser, qui reçoit des récompenses.
Longue procession de tributs offerts au roi assis sur son trône.
Longue procession de tributs offerts au roi.
Une girafe est présentée au roi.
Une girafe, un bœuf gras, un lion...etc. sont présentés au roi.
Une girafe et tout en bas un animal possédant une longue queue.
Apport de défenses d'éléphant au roi.

Apport de défenses d'éléphant au roi.

Apport de défenses d'éléphant au roi.
Dans le registre supérieur un lion et un bœuf gras sont offerts au roi.

La partie gauche du mur montre le roi en char décochant des flèches vers un groupe de Nubiens.
Derrière le char royal, deux chars plus petits sont occupés par un fils royal et son cocher. Les légendes précisent l'identité de ces deux princes : Amon-her-Ounemef et Khâemouaset.
Le roi en char décochant des flèches vers un groupe de Nubiens.
Plus loin sur la gauche des Nubiens fuient en direction d'un village où des femmes vaquent à leurs occupations.
Cette splendide fresque, présente au British Museum à Londres, du temple de Beit el-Wali, décrit l’expédition de Ramsès II en Nubie, au sud de l’Egypte.
On reconnait dans les personnages des armées ennemies nubiens et africains des contrées tropicales.Les présents sont nombreux : or, esclaves, éléphants, encens, lion, girafe, gazelle, léopard etc.… Cette copie conservée au British Museum de Londres est d'une très grande beauté, les couleurs et le réalisme des détails nous permettent de bien appréhender l'art classique du Nouvel Empire. Des archers Nubiens et des soldats Ethiopiens fuient devant le char de Ramsès II.
A gauche de la fresque Ramsès II (1279-1213 av. JC.) est représenté sur son char en vainqueur vaillant et indestructible.
Le char du roi, qui bande son arc, est tiré par deux chevaux.
Pour alterner et éviter la monotonie, les soldats qui fuient devant le roi, ont la peau noire ou rouge. Le roi est seul sur son char.
Sur les deux chars, qui suivent, deux personnes ont pris place dans la nacelle, il s'agit des fils du roi reconnaissables à la mèche de cheveux, et d'un écuellier.
Les Nubiens et les Ethiopiens apportent des offrandes au roi : bovidés, panthères, lion, girafe, bois d'ébène, singe,...etc.
Les offrandes sont apportées au roi.
 A droite de la fresque Ramsès II est représenté en souverain vainqueur recevant les présents des régions soumises en présence du vice-roi Amenemope.
De l'or, sous forme d'anneaux, est offert au roi, assis sur un fauteuil. Les pieds du roi reposent sur un socle. De même les pieds du sièges reposent sur des cales.
Dans le registre du haut, un fils du roi, portant la mèche de l'enfance, présente l'or à son père.
Les Nubiens sont revêtus de la peau de panthères. Des Egyptiens les précédent.
Les Ethiopiens offrent : une peau de panthère, une girafe, des singes, une panthère, des poutres d'ébène, des bovidés.
Deux bovidés, une gazelle, une panthère, un chien, des singes, une autruche, une girafe sont apportés en offrandes au roi.
Des enfants sont debout dans un couffin porté sur le dos d'un Nubien.
Les deux chars, qui suivent celui du roi, sont tirés par un seul cheval.
Dans la nacelle, des deux chars, nous trouvons des enfants du roi qui sont coiffés de la mèche de l'enfance.
La porte qui conduit à la cour est étroite.
La cour et la façade du spéos avec ses trois portes.
A droite le mur Nord et à gauche le mur Sud.
Porte en l'honneur de Rê-Horakhty, édifiée par assises de blocs de grès.
Une des deux tours de briques crues, dont il ne reste que les arasements.
Le rocher du dessus de la porte taillé par les chrétiens en anse à panier.
Beït el-Ouali signifie "la maison du Ouali", ce nom fut donné au XIXème siècle de notre ère à ce monument, en raison d'un personnage vénérable qui semble avoir aménagé sa demeure sur les vestiges de l'église qui s'était installée dans la longue cour en plein air.
Les parois de la façade portent des scènes religieuses.
Le roi coiffé de la couronne de Basse Egypte reçoit le signe ankh d'une divinité dont la tête est surmontée d'une croix copte.
Le roi, coiffé de la couronne de Basse Egypte, reçoit l'ankh.
Cartouche du nom de couronnement et croix copte.
Dans le cartouche le nom d'Ouser-Maât-Rê.
Les parois de la façade portent des scènes religieuses.
Le vestibule est tout en largeur, le plafond est soutenu par deux colonnes massives "protodoriques" réservées dans la pierre.
Pour la première fois en Nubie nous trouvons dans un temple des scènes militaires. 
Le vestibule devient ainsi un couloir de transition entre le profane et le sacré qui est réservé au sanctuaire.