Vases en terre décorés et une "assiette".
Vases en terre, avec ou sans anse.
Pains et coupes.
Des pains étaient enveloppés dans des palmes vraisemblablement pour conserver la fraicheur.
Pains, coupes, table, vase.
La table de gauche porte des inscriptions hiéroglyphiques.
Vase avec une anse et un long col qui avait pour but de ralentir l'évaporation d'un liquide.
Le vase a été soigneusement bouché et peut-être cacheté avec de la boue sous le bord.
Pains sur une table, vase au col long et denrées alimentaires dans des coupes.
Pains sur une table.
A droite une table basse en jonc tressé.
Des bols étaient remplis de dattes, de céréales, de briques de sel, de guirlande d'ail.
Toutes les victuailles étaient jonchés de rameaux de perséa.
Vase à deux anses avec l'œil oudjat.
Ce vase réalisé au tour consiste en un corps globulaire avec deux anses et un long col au bord évasé solidement bouché par des bandes de lin. Le col est complètement recouvert d'un tissu de la même couleur que la céramique jaune. Le vase est orné d'un de papyrus verts et de symbole religieux habituels : un œil oudjat peint en noir et blanc, le signe nefer posé sur la corbeille neb.
Sur le col, recouvert de lin, figure l'œil oudjat et le signe neb surmonté du signe nefer.
Cette décoration peu être lu de la manière suivante : "Toutes les bonnes choses et saines".
De part et d'autre de ses signes l'on trouve des bouquets de papyrus stylisés.
Sur chaque anse, un lotus est peint avec des feuilles vertes stylisées.
Il est possible que cette poterie ait contenue du vin, très apprécié par ceux qui pouvaient se permettre les plaisirs de la vie.
Pains, de diverses formes, pains de sel, céréales et dattes.
Panier en osier et bols.
L'on y trouve des pains de sel, des céréales et des dattes.
Pains dans des palmes, pains de diverses formes et table basse avec des textes.
Vitrine avec table, coffres, paniers et un jeu de senet.
Paniers en osier et ses couvercles.
Un jeu de senet en bois.
Les Egyptiens ont joué au jeu de senet pendant plus de 3000 ans, mais malgré la célèbre représentation de la reine Néfertari, les exemplaires complets parvenus jusqu'à nous sont très rares. Pour ranger les pions et les osselets, le boitier de ce jeu de senet comprend un tiroir muni d'un pêne qui évite qu'il ne s'ouvre par inadvertance, lorsque le jeu est porté.
Le verrou est le signe hiéroglyphique de l'unilitère S

A droite, la célèbre représentation de la reine Néfertari jouant au jeu de senet.

Le jeu, composé de trois rangées de 10 cases, est en fait une course entre deux personnes qui lancent des osselets et qui lisent leurs quatre faces comme des dès. Le but consiste à parcourir les trois rangées, la première dans un sens, la seconde dans l'autre, et la troisième de nouveau dans l'autre sens. Le plateau des 30 cases était généralement gravé sous le boitier, comme dans le cas présent. Mais il existait une autre jeu appelé le "Jeu asiatique des vingt cases" qui se trouvait presque toujours sur le dessus, dont nous voyons la disposition ici.
Le plateau des cases était généralement gravé sous le boitier.
Les différents éléments, en bois, du boitier tenaient grâce à un assemblage très précis à mortaises et tenons.
Les cases et les pions du jeu de senet.
Les douze cases (3 X 4) et à gauche la bobine posée sur la première case de la rangée centrale qui comporte 8 cases.
Pions sur les cases et un osselet.
L'osselet est petits os tiré de la jointure du gigot.
 Les cases portent des signes hiéroglyphiques.
Sur cette face nous trouvons 12 cases plus une ligne de 8 cases au centre.
La ligne centrale des huit cases avec les pions et un osselet.
Les pièces du jeu sont formées de cinq bobines et de sept cônes.
Deux lignes de textes sont gravés sur ce côté long du boitier.
Coffres et tables.
Coffres et table imitation osier (à gauche).
Le coffre à son couvercle en forme de toit et décoré de rosaces.
Une ligne de texte est peinte sur le haut du couvercle.
Merit et Khâ sont assis sur un siège à haut dossier.
Merit touche son époux de sa main droite, tandis que Khâ hume une fleur de lotus.
Le fils et la fille (ou belle-fille) de Khâ et de Merit offrent des offrandes.
Le fils offre une fleur de lotus, la fille tient une aiguière dans sa main droite.

Deux pommeaux permettaient de sceller le coffre à l'aide d'une cordelette.
A gauche la table basse imitation osier.