Vitrine.
Ostracon, en calcaire peint, montrant la cueillette des fruits par un cercopithèque.
L'ostracon qui provient de Deir el-Médina mesure 7,8 cm de haut pour une largeur de 11 cm.
Le petit singe vert escalade un palmier-doum afin d'en cueillir les fruits.
Son maître le menace en brandissant un bâton et le retient à l'aide d'un laisse rouge
Ostracon montrant deux singes qui grimpent à un palmier-doum.
L'ostracon qui date du Nouvel Empire provient de Deir el-Médina.
Il mesure 16,15 cm de haut, 9,28 cm de large et 1,9 cm d'épaisseur.
La cueillette des noix du palmier-doum, par des singes, est une méthode originale pratiquée en Egypte.
Attiré par les fruits, le singe grimpe pour s'en emparer, et se verra, aussitôt, par son maître d'abandonner son butin.
Ostracon : deux singes grimpent à un palmier-doum.
Papyrus présentant un acte de location.
Il date du règne d'Amasis, pharaon qui régna sous la XXVIème dynastie, et provient de Thèbes, d'après le contenu du texte.
Le papyrus mesure 26,5 cm de haut et 29,5 cm de long.
Ce contrat est conclu entre un prêtre, possédant des terres, et un cultivateur.
La localisation des champs est indiquée de façon précise ainsi que la durée durant laquelle le cultivateur aura à intervenir grâce à l'attelage de "vaches de labour" prêté par le propriétaire.
Feuillet du papyrus de Djehor datant de la Basse Epoque.
Il mesure 45,3 cm de haut et large de 50,8 cm.
L'équivalent égyptien du paradis est un espace qui reflète les principales composantes du paysage égyptien.
Ces papyrus funéraires, connus sous le nom de "Livres des Morts", montre le défunt en train de s'y divertir et de profiter de la nourriture qui s'y trouve en abondance.
Les champs y produisent du blé aux épis gigantesques qu'il convient de cultiver.
Le défunt apporte des offrandes à deux divinités.
Le défunt apporte des offrandes à deux divinités.
Le défunt est introduit devant le dieu Osiris et la déesse Isis.
Le dieu Khépri, le soleil renaissant à l'aube, navigue sur la barque.
Les déesses Isis et Nephthys sont placées dans cette vignette.
Quatre registres se superposent.
Le défunt est représenté dans les registres.
Le défunt navigue, à la rame, à l'intérieur d'une barque
Thot, le dieu de la sagesse, écrivain des dieux, portant le roseau et la palette, fait entrer le défunt Djehor.
Le défunt apporte des offrandes et l'encens à trois dieux qui ont la tête d'un lièvre, d'un serpent et d'un taureau.
Ensuite Djedhor est dans une barque
Djedhor navigue vers une divinité momiforme.
Derrière la divinité un court texte et rois ovales.
Le texte donne ceci : "être dans les champs des repas et respirer l'air".
Djedhor est tourné vers un héron posé sur un pyramidion, il s'agit du phénix, l'oiseau de lumière qui, lors de la création du monde, s'est installé le premier sur la première hauteur. Djehor est ensuite assis en tailleur devant des greniers de céréales. Les trois ovales portent le même nom et peu signifier "le transfigurer" qui reçoit de la nourriture.
Le défunt conduit les bovidés qui écrasent les épis de blé.
Le défunt coupe les épis de blé.
Le défunt coupe les épis de blé.
Le défunt laboure le champs pour enterrer les graines de céréales qui sont jetées devant les bœufs.
Les graines de céréales sont semées.
Trois ovales et un texte clôturent ce registre.
Trois ovales et un texte clôturent ce registre.
Trois ovales et un texte clôturent ce registre.
Le quatrième registre nous présente ici une barque avec un trône, ou un escalier, à sept marches.
L'escalier et la barque à tête de serpent semble faire allusion à la création du monde.
La barque est placée sur la colline des origines.
Trois divinités et l'escalier, ou trône, à sept marches  sont placés à l'intérieur d'un demi cercle formé par des canaux.
L'écriture de ce papyrus est en hiératique.
Feuillet du papyrus de Djehor qui appartient au chapitre 110 du "Livre des Morts".