Décor floral d'un palais amarnien.
Fragment, en granit, d'une statue de la Période Amarnienne.
Il s'agit d'un fragment de bas-relief en calcaire représentant la reine Tiy, de 42 centimètres de haut pour 39 centimètres de large, arraché au début du XXème siècle par de peu scrupuleux "fouilleurs" de la nécropole royale, à la tombe (TT 47) d'un haut fonctionnaire, Supérieur du harem royal, nommé Ouserhat. . 
Une sorte de bandeau-diadème ceint la tête de la reine, orné, sur le front, du double uraeus qui par la couronne qu'arbore chaque serpent dressé symbolise tout à la fois la Haute et la Basse-Egypte, et à l'arrière, du faucon aux ailes déployées en guise de protection, tenant entre ses serres l'anneau-chen, signe circulaire, sorte de boucle n'ayant ni commencement ni fin qui figure le concept d'éternité et matérialise la force et la durée universelle. Le tout étant coiffé d'une couronne d'où s'élevaient à l'origine deux plumes d'autruche.
Sept uraeus, coiffés du disque solaire, sont dressés sur le couronne.
Les deux uraeus du diadème sont coiffés des deux couronnes de l'Egypte.
Entre l'oreille et le sourcil l'on aperçoit une mèche de cheveu de la reine qui sort sous la perruque.
La reine tient une fleur de lotus.
Le vautour tient dans ses serres le signe chen.
Ce signe en s'allongeant deviendra le cartouche qui contiendra le nom des rois, de reines et de certaines divinités.
Pour découvrir toute l'actualité de cette découverte voir le blog de Richard Lejeune.
http://egyptomusee.over-blog.com/article-31938774.html
Le cône à parfum est posé sur la tête des deux hommes.
Un Asiatique, un ennemi de l'Egypte.
Le pharaon Akhenaton offre deux vases nou au dieu Aton.
Le disque solaire irradie de ses rayons le roi.
Salle de la collection égyptienne.
Groupe statuaire de deux hommes agenouillés.
Ce groupe de deux hommes assis en grès provient des fouilles de W. F. Petrie à Sérabit el-Khadim. Il représente le "directeur des choses scellées" Nebâaour et le "camérier de Djedbaou" Khentykhéty. La pièce appartient à la catégorie de statues privées qui ont été déposées dans le sanctuaire d'Hathor pour que les propriétaires puissent bénéficier des bienfaits divins.
Stèle d'offrande au défunt.
Le cintre est décoré de deux yeux oudjat qui encadrent le signe chen.
Les hiéroglyphes sont gravés dans le creux.
Deux hommes sont positionnés de part et d'autre d'une table d'offrande.
Stèle d'offrande.
Panneau décoré d'un homme et son épouse devant une table d'offrande. Cette stèle en calcaire montre le défunt et son épouse devant une table d'offrandes.
 La scène est entourée par un cadre en damier noir, rouge, jaune et blanc.
Les hiéroglyphes notés en une ligne au-dessus des personnages et en deux colonnes derrière la table d'offrandes sont presque entièrement effacés. Ce type de monument est très caractéristique d'une catégorie de stèles qui proviennent de la nécropole de Naga-ed-Deir et qui datent de la Première Période Intermédiaire. Devant l'homme nous trouvons des offrandes. Il est accompagné de son épouse qui le tient par la taille, lui prouvant ainsi son amour.
L'homme tient dans sa main droite une épée torsadé.
Bloc avec une scène et des textes hiéroglyphiques.
L'homme, assis avec son épouse sur un fauteuil, tient un vase.
Sous le fauteuil nous trouvons : un coffre, un sistre hathorique, une aiguière.
La femme est coiffée d'une perruque tripartite.
Bloc montrant deux hommes face à face séparés par huit colonnes de hiéroglyphes.
La scène et les colonnes sont réparties entre des larges bandes rouges.
Vitrine.
Vitrine.