Escalier qui conduit vers les terrasses du temple.
Escalier qui conduit vers les terrasses du temple.
Escalier qui conduit vers les terrasses du temple.
Dans l'angle Sud-Ouest nous trouvons un kiosque très remarquable par sa légèreté et son élégance. Alors que celui d'Edfou à  disparu complètement, de celui-ci il manque seulement deux colonnes du mur Sud, remplacées par Baraize. Le kiosque se compose de douze colonnes hathoriques reliées par des murs -bahuts et percées de deux portes.
Les figurations et les textes nombreux gravés sur les parois et les colonnes montrent qu'il s'agit là du lieu où se déroulait l'acte fondamental du rite d'unir au disque la statue de la déesse.
On voit nettement dans les architraves les mortaises qui permirent autrefois d'y fixer un toit en bois, arqué.
On dévoilait, aux rayons du soleil levant, la statuette placée dans le naos portatif et sans doute aussi des dieux parèdres. A l'extérieur, du côté Nord et du côté Est, on a gravé les grandes offrandes solennelles faites à Hathor, lors de la fête capitale; mais, comme on ne disposait pas d'autant de place que dans la cour du "siège de la première fête" elles sont moins abondantes. A l'intérieur étaient les naos divins. Quand les rites étaient accomplis, la procession empruntait l'escalier de l'Est, celui de la descente, qui était direct comme une descenderie de tombeau, avec laquelle on peut parfaitement l'assimiler.
Deux hérons.
Le disque solaire ailé, flanqué de deux uraeus, vole au dessus du pilier djed, symbole osiriaque, encadré de deux nœuds d'Isis.
Deux bâ protègent le disque solaire, d'où émanent des rayons, qui viennent éclairer le disque qui nait à l'horizon.
La représentation précédente est reproduite dans cet angle.
Deux bâ protègent le disque solaire, d'où émanent des rayons, qui viennent éclairer le disque qui nait à l'horizon.
La copie du zodiaque de Dendara.
L'original est exposé au musée du Louvre.
copie du zodiaque de Dendara.
La déesse, Isis ou Hathor, protège de ses ailes le roi assis sur le signe de l'or.
A l'époque Ptolémaïque les pagnes des rois adoptent une riche décoration.
Le roi, représenté sous la forme d'une chien ailé, un griffon, piétinent les ennemis capturés.
Sur ce pagne le roi massacre, à l'aide d'une massue les ennemis qu'il maintient par les bras.
Les deux lions, qui accompagnent le roi, lui prêtent main forte.
Cartouche du roi posé sur le signe de l'or.
Les kheperou, le pluriel  de kheper, le scarabée.
Hiéroglyphe montrant un homme portant un enfant sur sa tête.
Des oiseaux s'ébattent dans les plantes.
Il s'agit de canards.
La déesse Hathor.
Façade du temple d'Hathor.
Dans ce pays extrêmement sec, l'eau qui venait du ciel, produite lors des orages parfois destructeurs, qui troublaient l'atmosphère, émanait de puissances nuisibles qui tendaient à ramener le monde organisé au chaos. Il fallait donc l'éliminer très soigneusement. Aussi a-t-on combiné avec grand soin les pentes de toitures pour amener l'eau à huit gouttières. A l'extérieur, les conduits de recueillement de l'eau de pluie, débouchaient dans des moellons faisant saillie et terminés par un protome de lion. L'eau passait entre les pattes. En face de ces écoulements, dans le mur d'enceinte en pierres, au niveau du sol, on avait ménagé à l'intérieur de la pierre des passages qui évacuaient l'eau à l'extérieur. Des systèmes aussi soignés se trouvaient installés aux deux mammisi.