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Stèle d'Intef datant de la XIème
dynastie, sous le règne de Montouhotep II. |
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Sous le siège du couple l'on
trouve un chien couché. L'homme hume une fleur de lotus tandis que
la femme tient un bouton de lotus, symbole de renaissance. La table est
richement garnie : pains, volailles, boissons, cuisseau, fleurs, figues
etc. Dans les deux registres des serviteurs apportent une multitude
d'offrandes : cuisseau, figues, volailles, un bœuf etc. |
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Un bœuf est offert au couple
par un homme qui présente un état de grande maigreur. |
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La pièce
majeure et la plus populaire du département est sans nul doute le
temple de Dendour.
Ce temple fut démantelé par le gouvernement égyptien pour le sauver de la
montée des eaux, lors de la construction du
barrage d’Assouan,
puis offert aux
États-Unis
en
1965.
Il est réassemblé au Met, dans l’aile Sackler en
1978.
Il se trouve dans cette salle immense entourée d’un bassin et éclairée par
une gigantesque baie vitrée donnant sur
Central Park.
Notre ami Espé, qui a réalisé les
photos de la collection égyptienne du
Metropolitan Museum of
Art
de
New York,
pose entre les deux statues. |
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Le temple
antique a ensuite été converti en église chrétienne.
Commandé par l'empereur romain
Auguste, le
temple est construit, vers
-15, en
grès. Il
mesure vingt-cinq
mètres depuis
la porte jusqu'au fond et huit mètres de hauteur. Ses murs sont décorés de
bas-reliefs
sur lesquels sont conservées des traces de couleur. Il est d'abord dédié à
la déesse
Isis et aux
dieux
Harpocrate et
Osiris. Mais,
en
577, il est
converti en église chrétienne. |
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Les deux statues qui précédent
le temple appartiennent au pharaon Merenptah. |
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Les deux statues qui précédent
le temple appartiennent au pharaon Merenptah. |
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Les deux statues qui
précédent le temple appartiennent au pharaon Merenptah. |
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Le roi, assis sur un trône,
pose ses mais à plat sur ses cuisses.
La queue du taureau, signe de puissance, est figurée entre ses jambes. |
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Cartouches du nom de
naissance et d'intronisation de Merenptah. |
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Statue de Merenptah. |
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Statues de Merenptah, celle
de droite est plus petite. |
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Statues de Merenptah, et au
fond le temple de
Dendour. |
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Statues de Merenptah. |
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Statues de Merenptah. |
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Nom de naissance :
Mer-en-Ptah hetep Maât, l'aimé de Ptah, qui satisfait Maât |
Nom d'intronisation :
Ba-en-Rê, mery en Imen, le Ba de Rê, aimé d'Amon |
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Statue de Merenptah. |
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Le sema-taouy et le nom
d'Horus du roi sont gravés sur le socle du siège. |
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Un temple
sauvé des eaux au XXème siècle.
Sous la présidence de
Gamal Abdel Nasser,
l'Égypte
se lance, en
1954, dans
la construction du
haut barrage d'Assouan.
Les eaux du lac ainsi généré vont alors engloutir la vallée du Haut-Nil
depuis
Assouan
jusqu'à la
cataracte de Dal
au
Soudan.
Cette région connue depuis l'antiquité sous le nom de
Nubie
recèle d'importants trésors archéologiques dont de nombreux
temples
antiques. Aussi, en 1959, les gouvernements égyptien et soudanais
demandent de l'aide à l'UNESCO
afin de sauver ces sites. Une vaste campagne internationale pour la
sauvegarde des monuments de Nubie est alors engagée. De nombreux sites
sont démantelés pour être reconstruits ailleurs dont le temple de
Dendour en
1962. |
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Les
États-Unis
participant à la vaste campagne internationale pour la sauvegarde des
monuments de Nubie, l'Égypte,
pour les remercier, leur offre, en
1965, le
temple de Dendour. De même, les
Pays-Bas
reçoivent celui de
Tafa, l'Espagne,
celui de
Debod et
l'Italie,
celui d'Ellesiya.
Le temple est ainsi, depuis 1978, exposé dans une salle du
Metropolitan Museum of Art
de
New York. |
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Le temple de Dendour. |
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Le temple de Dendour. |
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Le temple de Dendour. |
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Le temple de Dendour. |
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Le temple de Dendour. |
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Lion devant le temple de Dendour. |
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Lion devant le temple de Dendour. |
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La porte du pylône et en arrière plan le temple et
ses deux colonnes. |
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Une façade du temple décorée
de scènes d'offrande du roi aux divinités. |
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Intérieur du
mastaba de Perneb. |
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Intérieur du
mastaba de Perneb. |
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Le défunt, Perneb, est
représenté de part et d'autre de la porte d'entrée de la salle. |
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Le défunt,
Perneb, est
représenté de part et d'autre de la porte d'entrée de la salle.
Il teint dans une main le bâton de commandement et dans l'autre une étoffe. |
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Fausse-porte du
mastaba. |