Naos.
Naos.
Naos.
Naos.
Naos.
Naos avec cartouches de Ramsès II.
Statues colossale de Ramsès II.
Cartouche du nom de couronnement : ouser Maât Rê setep en Rê, la justice de Rê est puissante, l'élu de Rê.
A droite : ouser Maât Rê setep en Rê, la justice de Rê est puissante, l'élu de Rê.
A gauche : Rê-mes-sou, Rê l'a engendré.
La queue de taureau pend entre les jambes du roi qui est encadré par deux figures féminines.
Cartouches et titulature du roi.
Le roi porte le pagne court.
Les hiéroglyphes s'inscrivent sur les côtés du siège ainsi que sur le pilier dorsal.
Titulature du roi.
Cartouches sur le pilier dorsal.
A gauche, le cartouche renfermant le nom de naissance de Ramsès II est précédé de la mention : sa Rê, fils de Rê.
A droite le cartouche de son nom de couronnement est précédé de la mention : nesout-bity (celui du roseau et de l'abeille - le roi de Haute et Basse Egypte)
Deux statues colossales de Ramsès II.
Celle ci est un peu plus détériorée.
Dans la partie inférieure gauche se trouve le numéro d'inscription de la statue.
Ces numéros inscrits sur les diverses œuvres découvertes servent de référence lors des publications.
Le némès coiffe le roi.
Pilier dorsal décoré de hiéroglyphes.
Sa Rê, fils de Rê.
Nesout-bity (celui du roseau et de l'abeille - le roi de Haute et Basse Egypte)

Le Maître des Deux Couronnes.
Le Maître des Deux Terres.
A droite et à gauche le faucon Horus surmonte le Serekh qui contient le nom d'Horus.
Taureau puissant celui qui aime Maât.
Auguste Mariette est né le 11 février 1821 à Boulogne-sur-Mer  où il devient maître d’études au collège. Auguste Mariette découvre l’Egypte presque par hasard, à travers les carnets poussiéreux d’un ancien disciple de Champollion.
Des salles obscures du Louvre à la plaine de Saqqara, il y consacre sa vie, bouleversant plus que tout autre le destin de ce pays, qui devient sa nouvelle patrie. Une tête de sphinx, émergeant des sables, place sa première expédition sous le signe des dieux, en lui ouvrant la voie vers le légendaire Serapeum de Memphis, nécropole que l’on croyait à jamais perdue dans la nuit des temps.
Le 1er juin 1858, le vice-roi Saïd Pacha nomme Mariette directeur des travaux d'antiquités en Égypte. Il est également chargé de fonder au Caire, dans le quartier du port fluvial de Boulaq, un musée destiné à abriter les œuvres provenant des chantiers de fouilles. Le musée inauguré en 1863 sera, au début du XXe siècle, transféré au Caire, d'abord dans un palais de Gizeh, puis dans un nouvel édifice : l'actuel Musée égyptien.
En reconnaissance des efforts importants réalisés par Mariette pour la protection du patrimoine égyptien, le Vice-roi d'Égypte lui accorde le titre honorifique de Pacha en 1879.
Épuisé par la rude vie menée en Égypte et par le diabète dont il souffre depuis de nombreuses années, Auguste Mariette s'éteint le 18 janvier 1881 à Boulaq. Son tombeau a, depuis, été déplacé devant le Musée égyptien du Caire. "À Mariette Pacha, l'Égypte reconnaissante", peut-on lire sur le socle de sa statue.
Bustes à la mémoire des défenseurs de la civilisation égyptienne.
Sarcophage d'Auguste Mariette et bustes à la mémoire des défenseurs de la civilisation égyptienne.

Sarcophage et statue d'Auguste Mariette.

Statue d'Auguste Mariette.