Médaillon avec la barque portant le soleil du matin sous la forme d'un scarabée.
Ptah-Patèque, parfois appelé simplement Patèque, est l'un des multiples aspects du dieu Ptah, démiurge de Memphis ainsi que dieu des orfèvres et des artisans, dans la mythologie égyptienne. Ptah fut particulièrement populaire sous la forme de Ptah-Patèque, nain difforme au crâne aplati, génie protecteur comme le génie Bès. Certains ont rapproché ces bons génies nains des nains orfèvres, fréquemment représentés sur les reliefs des mastabas. « Celui qui écoute les prières » recevait de nombreux ex-voto à Memphis. Il est identifié à Héphaïstos par les Grecs. Celui de droite porte une coiffure composite : cornes torsadées, hautes plumes, uraeus et un scarabée.
Amulettes de la déesse lionne Sekhmet.
Scorpion.
Serket (ou Selkis en grec) est souvent surnommée la déesse-scorpion. Elle n’est cependant pas la divinité de ces insectes, car son rôle est de protéger les hommes des piqûres et des venins. Ainsi elle est associée aux guérisseurs à qui elle transmettait son savoir. On la trouve également sous les noms de SelchisSelkhitSerqet SelkitSelketSerket-hetytSelqetSerkhet or Serquet.

Son culte est ancien, on la trouve comme divinité résidente de la ville d’Edfou. Les origines de Serket sont peu définies, elle n’a au départ ni père ni mère, jusqu’à ce que l’on en fasse une des filles de  et parfois la femme de Horus. Elle aurait d’ailleurs protégé ce dernier ainsi que Isis, lorsqu’ils se confrontaient à Seth. Au début on raconte qu’elle surveillait Apophis, avant d’être plus largement mentionnée parmi les déesses protégeant les vases canopes, contenant les organes des défunts, à savoir celui des intestins. Elle est donc associée et souvent représentée avec IsisNephtys et Neith, les gardiennes des autres vases canopes. Elle protège également le sarcophage des pharaons, si bien qu’on la considère parfois comme leur patronne. Lors de la résurrection du défunt, c’est elle qui lui redonne la respiration, ce qui explique la signification de son nom : celle qui fait respirer. C’est donc une déesse bienveillante dont le rôle protecteur se poursuit après la mort.

Statuettes de la déesse lionne Sekhmet.
Le chat.
Statuette du dieu Thot sous la forme du babouin.
Statuette en bronze du dieu Amon dans le sens de la marche.
Statuette en pierre du dieu Bès.
Statuette en pierre d'un taureau.
Dans l'Antiquité égyptienne, il existait plusieurs taureaux vivants considérés comme sacrés. Ils étaient l'incarnation de la puissance divine sur terre (le bâ). Pour chaque dieu qu'ils incarnaient, un seul taureau était vénéré à la fois. À sa mort, la croyance voulait qu'il se réincarne dans un autre taureau que les prêtres étaient chargés de retrouver grâce à des signes spécifiques. Les trois principaux taureaux sacrés, dont la notoriété dépasse largement leur lieu d'origine, sont Boukhis associé à Montou dans la ville d'Ermant, Mnévis associé à Rê dans la ville d'Héliopolis et surtout Apis associé à Ptah dans la ville de Memphis dont Sarapis sera un avatar plus tardif.
Plaque avec une représentation d'un pavois de la déesse Hathor.
La déesse Sekhmet.
La déesse Sekhmet.
Sarcophage avec cuve et couvercle.
Scène de l'intérieur de la cuve.
Scène de l'intérieur de la cuve.
Scène de l'intérieur de la cuve.
Le couvercle.
Scène de l'extérieur de la cuve.
Scène de l'extérieur de la cuve.
Scène de l'extérieur de la cuve.
Scène de l'extérieur de la cuve.
Le défunt et son épouse.
Scène de l'extérieur de la cuve.
Divinités.
Scène de l'extérieur de la cuve.
La déesse Hathor sortant de la montagne.