Stèle d'adoration au dieu Osiris et à la déesse Isis.
Stèle d'offrande aux propriétaire qui a reçu les colliers de récompenses.
Le défunt porte les colliers d'or que le roi lui a remis en récompense.
Stèle d'adoration à Osiris accompagné des divinités : Horus, Isis et Oupouaout.
Osiris, Horus, Isis et Oupouaout, l'Ouvreur des Chemins.
Le défunt apporte des offrandes aux divinités.
Le défunt apporte des offrandes aux divinités.
Tête en granite.
Tête en granite.
Vitrine.
Vase avec les cartouches du roi Siptah, pharaon de la XIXème dynastie -1196-1190-.avant notre ère.

    Serhâ-en-Rê, celui pour qui apparait Rê, l'aimé de Rê

  Rê-mes-sou sa Ptah, Rê l'a engendré, Fils de Ptah

Vase décoré.
Vase décoré.
Fragment d'un vase décoré avec deux cartouches.
La terminaison du cartouche de gauche serait celle du pharaon Ramsès III ?

   Rê-mes-sou héqa-Iounou, Rê l'a engendré, Régent d'Héliopolis
Vase avec deux cartouches.
Fragment d'un vase, en faïence, avec deux cartouches.
Trois femmes en adoration.
Statue-cube du prince Ramsès-Siptah en grès cristallin, "quartzite", d'une hauteur de 33,3 cm, large de 19,6 cm et profonde de 24,7 cm.
La statue-cube provient probablement du temple de Thot à Hermopolis et date de la fin de la XIXème dynastie. Seuls la tête, les mains et les orteils massifs du personnage assis émergent du manteau recouvrant les jambes repliées et les bras.
Deux statues en haut relief se détachent de la partie avant de la statue-cube.
Les deux divinités reposent sur un socle qui lui-même repose sur les orteils du prince. Les divinités sont Nehemetâouay, à droite, qui est la parèdre principale du dieu Thot à Hermopolis.
Le dieu Chepsy, dieu lunaire, ne serait qu'une forme du dieu Thot. La main gauche tient la laitue tandis que la droite est posée à plat, à côté d'une inscription déclinant son identité sur deux lignes : "le fils royal Ramsès-Siptah justifié". Une courte barbe postiche orne son menton. La perruque, qui englobe le visage et en cache les oreilles, est divisée en deux parties par une raie médiane. Sur le côté droit du visage une large mèche de l'enfance, très plate, indique depuis la XVIIIème dynastie le statut de fils royal ou fille royale. Dissimulant le point d'attache de la mèche on trouve la fine main d'un cynocéphale qui appuyait son museau sur le sommet du crâne de Ramsès-Siptah. La tête du cynocéphale a disparu.
Pyramidion en calcaire.
Le défunt en adoration au dieu solaire qui émerge de l'horizon.
Le scarabée ailé, posé sur une barque, pousse le soleil.
Le défunt en adoration.
L'on a trouvé, associés à ces stèles, soixante-quinze petits bustes, le plus souvent anépigraphes, mais dont on pense aujourd'hui qu'ils sont des représentations de ces ancêtres bien-aimés.
Stèle d'offrande au dieu Ptah dont le corps et recouvert d'écailles ou de plumes.