Scènes du papyrus érotique.
Scènes du papyrus érotique.
Scènes du papyrus érotique.
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Scènes du papyrus érotique.
Scènes du papyrus érotique.
Scènes du papyrus érotique.
Scènes du papyrus érotique.
Le papyrus érotique.
Le papyrus érotique.
Le papyrus érotique.
Ostracon, fracturé, représentant un animal à cornes
Ostracon représentant un chat.
Une souris.
Ostracon.
Un chat.
Un bouvier conduit un bœuf.
Pieds et robe d'un personnage.
Un prince portant la mèche de l'enfance.
Le hiéroglyphe du dieu Seth est figuré dans le texte.
Tête d'une femme et personnage assis.
Une fleur ou colonne de lotus !
La danseuse acrobatique.
Cette esquisse de danseuse, de 11,5 cm X 17 cm pour une épaisseur de 4 cm, date du Nouvel Empire sous la XIXème dynastie.
Comme le papyrus était trop coûteux, les documents privés étaient rédigés sur des tessons de poteries ou des éclats de calcaire, dont beaucoup provenaient de l'extraction de la roche pour creuser les tombes.
Ostracon au singulier et ostraca au pluriel.
Les ostraca qui étaient destinés au rebut dévoilent de nombreux aspects de la vie quotidienne dans l'ancien Egypte.
Aujourd'hui, l'on pense aussi que certains ostraca avaient une autre fonction dans l'habitation : celle d'ex-voto.
La femme était rarement dépeinte nu ou dans des attitudes de laisser-aller, si bien que l'ostracon de danseuse du musée de Turin est célèbre pour toutes les conventions artistiques qu'il brave.
La danseuse est nue, à l'exception d'un pagne noir avec des dessins géométriques qui enserre sa taille. Pour tout bijou, elle porte un anneau d'or à l'oreille qui défie les lois de la gravité. Elle fait le pont avec les épaules de profil et sa lourde chevelure bouclée pend en toute liberté. Ce sujet sans précédent dans l'art égyptien atteste que les artisans étaient en mesure de réaliser des images ni statiques ni canoniques, sans l'habituelle rotation singulière des axes (les épaules de face, avec le visage et les membres de profil). Cette esquisse, presque érotique, qu'un artisan habile a sans doute dessinée pour son plaisir provient peut-être de Deir el-Medineh.