Statue de la déesse Sekhmet debout.
Statue cube d'un homme agenouillé, présentant un naos avec sa divinité féminine.
Les pieds du personnage sont chaussés de sandales.
Une longue robe plissée habille le personnage qui présente le naos.
Statue de Sekhmet assise.
Le séma-taoui sur le flanc du siège.
Cartouche au nom de naissance de Chéchanq Ier.
La XXIIème dynastie et la XXIIIème dynastie (818-715) libyennes sont étroitement parallèles ; elles s'éteignent l'une et l'autre avec la conquête de l'Egypte par Piânki en 715. La XXIIème dynastie se substitue à la XXIème dynastie tanite et règne à Tanis. A la suite d'une scission, deux familles de la XXIIIème dynastie se partagent le pouvoir et règnent en parallèle, choisissant d'élire domicile à Bubastis et à Léontolis. La plupart des cartouches des souverains de ces deux familles régnantes se placent sous la haute protection de Bastet, force divine féline, dame de Bubastis.
Cartouche au nom d'intronisation de Chéchanq : Hedj-kheper-Rê, setep en Rê : La manifestation de Rê est lumineuse, l'élu de Rê.
Cartouche au nom de naissance de Chéchanq Ier.
La déesse Sekhmet assise.
La déesse Sekhmet debout.
La déesse Sekhmet.
Tête de lionne, disque solaire et uraeus.
La déesse Sekhmet 
Statue en diorite de Thoutmosis III.
D'une hauteur de 1,92 mètre, large de 64 cm et profonde de 1,33 mètre, la statue provient de Thèbes avec la collection Drovetti.
L'emblème du sema-taoui est gravé sur les flancs du siège.
Le sema-taoui est l'union du poumon et de la trachée, qui, avec le papyrus et le lotus signifie "unir les Deux Terres".
L'emblème du sema-taoui est gravé sur les flancs du siège.
Le cartouche au nom d'intronisation du roi : Men-kheper-Rê, la manifestation de Rê demeure.
Le roi porte le pagne shendit à trois pans, répandu dans les classes moyennes dès le Moyen Empire.
Le roi est assis, les mains à plat sur les genoux, comme n'importe qui, et il ne tient ni sceptre ni signe ankh.
La queue royale, bovine ou léonine (on l'ignore encore), est entre ses jambes.
Le cobra uraeus orne son front.
 On identifie immédiatement cette importante statue de Thoutmosis III à un personnage royal à son némès -l'étoffe tendue sur son front- qui porte un cobra.
Une inscription ajoutée devant le socle dit : "Découvert par J. P. Rifaud sculpteur au service de M. Drovetti à Thèbes en 1818".
Ce genre d'étiquetage était fréquent sur les sculptures que Drovetti a rassemblées ; il craignait sans doute d'être volé par les agents d'autres consuls qui rêvaient de vendre leurs découvertes aux musées nationaux en train de naître en Europe.
Sur le socle, les arcs qui représentent les neuf tribu étrangères et ennemis de l'Egypte, sont gravés, piétinés par les pieds du roi.
Le némès et le cobra.
Statue de Thoutmosis III.
Statue de Thoutmosis III.