Si de nombreux temples furent transformés en église par les premiers chrétiens d'Égypte, l'espace des tombes reçurent aussi des salles de prières avec leurs décorations. Les Coptes firent de la tombe de Khounès un monastère.
La protection des fresques réalisées par les Coptes ne semble pas préoccuper les autorités égyptiennes.
Couloir décoré de personnages.
Couloir, avec voûte, décoré de personnages.
Dans la coupole le Christ est entouré de quatre anges qui symbolisent les quatre évangélistes.
Sous le Christ
Pantocrator nous trouvons les apôtres. Les fresques sont reproduites sur du crépi.
Dans la coupole le Christ est entouré de quatre anges qui symbolisent les quatre évangélistes.
Sous le Christ Pantocrator nous trouvons les apôtres.
Sous le Christ Pantocrator nous trouvons les apôtres, au nombre de 13.
Les personnages, peints dans le couloir, sont vêtus d'une longue robe .
Le visage des cinq premiers est entouré par un rectangle de couleur jaune, celui du sixième personnage (situé à droite) porte l'auréole.
Des visages sont barbus, d'autres imberbes. Les cinq premiers personnages lèvent les deux mains, la paume étant tournée vers l'extérieur.
Visage entouré par un rectangle de couleur jaune.
Visage entouré par un rectangle de couleur jaune.
Visage entouré par un rectangle de couleur jaune.
Visage entouré par un rectangle de couleur jaune.
Les apôtres.
Les apôtres au nombre de 13.
Les apôtres au nombre de 13.
Les quatre évangélistes entourent le buste du Christ qui est vêtu d'une tunique.
Le Christ Pantocrator est une représentation privilégiée de l'art byzantin qui montre le Christ en buste, tenant le livre des Saintes Écritures dans la main gauche et levant la main droite dans un geste d'enseignement codifié qui invite à la vie éternelle.
Un apôtre.
Les évangélistes.
Les évangélistes.
Les peintures des fresques conservent les couleurs originelles.
Le Christ
Pantocrator, à l'intérieur d'une mandorle, lève la main droite, un livre est plaqué contre sa poitrine.
Le mot mandorle vient de l’italien mandorla qui signifie amande. Il désigne une figure en forme d’ovale ou d'amande dans laquelle s’inscrivent des personnages sacrés : le plus souvent le Christ, mais aussi la Vierge Marie ou les saints.
La position des mains du Christ.
La mandorle :
L'utilisation du cercle pour inscrire un personnage en plus de son implantation en hauteur dans l'architecture d'un lieu, évoque la sphère céleste.La mandorle, elle, exprime une autre dimension : c'est une figure géométrique dessinée à l'aide de deux cercles. À l’intersection de ces deux cercles est installée une personne. Elle indique donc la personne par laquelle il faut passer pour parcourir le chemin entre les deux cercles, les deux hémisphères ou les deux mondes, l'un terrestre et l'autre céleste. L’implantation du Christ dans une mandorle sur le tympan de la porte de l'église révèle le symbolisme du passage de l'extérieur de l'église à l'intérieur de l'église et préfigure ainsi le passage des vivants du monde terrestre au monde céleste. La mandorle est utilisée alors à chaque fois pour exprimer un passage ou une porte.
Les piliers carrés soutiennent le plafond de la tombe.
La tombe.
Escalier qui relie la vallée à la tombe.
Escalier qui relie la vallée à la tombe.
Escalier qui relie la vallée à la tombe.
La corniche et les tombes de la nécropole de Qoubbet el-Haoua.
Escalier qui relie la vallée à la tombe.