Le défunt, accompagné par Anubis, est présenté au dieu de l'au-delà Osiris.
Le trône du dieu est posé sur une natte qui elle même repose sur le socle bizuté de Maât.
Le défunt, accompagné par Anubis, est présenté au dieu de l'au-delà Osiris.
L'emblème du sema-taoui, la réunion des Deux Terres, est placé dans l'angle gauche du trône du dieu Osiris.
Un guéridon est placé devant le dieu, mais l'objet qu'il portait est manquant.
Le défunt accompagné par Anubis.
Le dieu Osiris est coiffé de la couronne atef.
Il porte les sceptres qui symbolisent le pouvoir : la crosse et le flagellum.
Un grand texte composé de colonnes couvre cette grande surface de la paroi et de la voûte.
Au-dessus de la scène de présentation à Osiris figure la vignette du chapitre 135 du "Livre des Morts" qui commence ainsi : "Autre formule à dire quand la lune est nouvelle, le premier du mois". La représentation nous montre 5 divinités, 7 étoiles et un disque, cerclé de blanc, sur un fond bleu-sombre. Cette scène est reproduite dans 5 autres tombes de la XIXème dynastie de Deir el-Medineh.
Les divinités momiformes portent la barbe postiche maintenue par un fil.
La représentation sur le mur Sud, qui se situe vers le côté gauche de la chambre funéraire, montre la momification de la personne d'Irynefer, qui repose sur un lit à têtes de lions. La momification est effectuée par Anubis, le dieu à tête de chacal, dans le pavillon divin.
Les pieds du lit léonin reposent sur des cales.
 Anubis était couramment honoré de quatre épithètes : "Celui qui est dans les bandelettes", "Président du divin pavillon", "Seigneur de la nécropole", "Celui qui est juché sur sa montagne".
Un masque, à la barbe postiche recourbé, recouvre la tête du défunt momifié.
Nous allons découvrir la scène figurée sur la partie basse de la paroi de gauche.
Sur la droite nous trouvons une partie du mobilier funéraire
Sur le toit de la tombe se trouve un chevet.
Dans la scène du dessus le masque funéraire est posé sur le toit de la tombe.
Le dieu Ptah, enserré dans son linceul, est assis sur un trône.
Le dieu tient dans ses mains, qui sortent du linceul, un sceptre composite : pilier djed, sceptre ouas et l'ankh.
La hampe des sceptres épouse le corps du dieu.
Dans cette scène l'on trouve les parents d'Irynefer, leur âge avancé est indiqué par leurs cheveux blancs.
Ils rendent hommage au dieu
Ptah, le dieu protecteur des artisans.
Le dieu Ptah est assis sur
 trône et il reçoit en offrande une figurine de la déesse Maât.
C'est Irynefer, qui agenouillé, offre la déesse Maât au dieu Ptah.
Le sema-taoui est peint dans l'angle droit du siège.
Irynefer, agenouillé, offre la déesse Maât au dieu Ptah.
Irynefer, agenouillé, offre la déesse Maât, posée sur un pavois, au dieu Ptah.
La déesse Maât, assise, tient l'ankh.
 Une plume, qui sert à écrire son nom, est maintenue par un bandeau de tête.
Irynefer, agenouillé, offre la déesse Maât au dieu Ptah.
Les parents d'Irynefer : Siouazyt qui était Prêtre et Taousert, sa mère.
Le chapitre 82 du "Livre des Morts" commence ainsi : "Formule pour prendre l'aspect du dieu Ptah; manger du pain, boire de la bière, être dédié enfin,, être un vivant à Héliopolis".
Le siège du dieu Ptah repose sur le signe hiéroglyphique de la corbeille qui signifie : maître.
Siouazyt le père d'Irynefer porte une barbichette au menton.
Taousert la mère d'Irynefer.
Le bandeau de tête maintient une fleur de lotus.
Le cône à parfum est posée sur sa tête.
Les parents d'Irynefer : Siouazyt qui avait la fonction de Prêtre et Taousert, sa mère.
Les parents d'Irynefer : Siouazyt et Taousert, sa mère.
Tous les deux sont habillés d'une longue robe blanche plissée.
Un large collier orne leur cou.
Les parents d'Irynefer : Siouazyt et Taousert, sa mère.
Les parents d'Irynefer : Siouazyt et Taousert, sa mère.
Derrière les parents d'Irynefer apparaissent deux scènes superposées, qui ont ici une grande importance pour la survie du défunt.

Le nouveau soleil renaît à l'horizon, sous forme d'un petit veau (à pelage blanc tacheté de noir, dans certaines tombes).
Les deux arbres au feuillage bleu-verdâtre suggère le lever du soleil du côté du désert arabique et, plus loin, du Sinaï d'où on extrait la turquoise. Il s'agit des « deux sycomores de turquoise entre lesquels sort Râ ».

Le couple salut et adore un jeune taureau-veau debout entre deux sycomores, les arbres sacrés d'Héliopolis.
Le veau est une préfiguration de l'énergie solaire lorsqu'elle se déplace dans le ciel.
Le soleil, boule rouge, apparait entre les deux sycomores.
Le veau est une préfiguration de l'énergie solaire lorsqu'elle se déplace dans le ciel.
Irynefer porte un pendentif décoré du pilier djed, d'une ombelle de papyrus et du nœud-tit.
Trois amulettes nécessaires à la survie dans le royaume d'Osiris.
Le chapitre 156 du "Livre des Morts" commence ainsi : "Formule pour le nœud-tit de jaspe rouge. Paroles dites par N. : "Tu as ton sang Isis; tu as ton pouvoir magique, Isis, tu as la magie, Isis, l'amulette qui est ta protection de ce grand dieu, qui réprime celui qui cause du tort"....
Le nœud-tit est souvent appelé le nœud d'Isis.
Mehytkhati et son époux Irynefer.
Irynefer porte un pendentif décoré du pilier djed, d'une ombelle de papyrus et du nœud-tit.
Mehytkhati porte des bracelets, des boucles d'oreilles, un cône à parfum sur la tête et un bouton de lotus dans les cheveux, maintenu par un bandeau de tête. Sa lourde perruque frisée retombe sur sa poitrine.