Au registre supérieur, douze dieux, équipés d'une corde d'arpentage, mesurent les champs du paradis d'Osiris et les attribuent aux morts bienheureux.
Registre du bas : devant les "races" douze dieux, soutiennent un long serpent.
Les dieux sont séparés par le signe du temps de vie, qui est formé du soleil supportant un mât.
Ils portent le temps de vie alloué à chaque mort dans le monde souterrain.
Ce temps correspond à une heure de la nuit, elle-même équivalente à la durée d'une vie sur terre.
Au registre supérieur, douze dieux, équipés d'une corde d'arpentage, mesurent les champs du paradis d'Osiris et les attribuent aux morts bienheureux.
Au registre médian les dieux tiennent fermement un serpent qui n'est autre que le redoutable Apophis, le plus dangereux ennemi du dieu solaire dont il cherche à arrêter la course.
Au registre médian les dieux tiennent fermement un serpent qui n'est autre que le redoutable Apophis, le plus dangereux ennemi du dieu solaire dont il cherche à arrêter la course. Registre du bas : devant les "races" douze dieux, soutiennent un long serpent.
Les dieux sont séparés par le signe du temps de vie qui est formé du soleil supportant un mât.
Au registre supérieur, douze dieux, équipés d'une corde d'arpentage, mesurent les champs du paradis d'Osiris et les attribuent aux morts bienheureux.
Au registre médian les dieux tiennent fermement un serpent qui n'est autre que le redoutable Apophis, le plus dangereux ennemi du dieu solaire dont il cherche à arrêter la course.
 Registre du bas : devant les "races" douze dieux, soutiennent un long serpent.
Les dieux sont séparés par le signe du temps de vie formé du soleil supportant un mât.
La tête d'Apophis est pendante tandis que la tête du serpent de "vie" est redressée (à droite).
A la fin du registre médian les morts qui ont fait le bien sur terre s'avancent vers un personnage qui est le supérieur de sa cour de justice. Il fait le lien avec la scène qui s'intercale entre le cinquième et sixième heure et qui montre le roi devant Osiris et la déesse de l'Occident. Au registre inférieur l'admission des Egyptiens et des étrangers dans l'au-delà, protégés par le dieu Horus, est la conséquence des idées universalistes développées par la religion d'Aton et de l'aspect de plus en plus cosmopolite de l'empire égyptien. Au registre supérieur les défunts reçoivent le terrain qui assurera leur approvisionnement.
Le roi, suivit du dieu Horus, devant le dieu Osiris et Hathor, la déesse de l'Occident.
Cette scène résume à elle seule le jugement de la pesée du cœur dans la cour de justice d'Osiris telle qu'elle est figurée dans la tombe d'Horemheb.
A droite l'escalier qui conduit vers le couloir G, H et le vestibule I.
Le jugement de la pesée du cœur dans la cour de justice d'Osiris figurée dans la tombe d'Horemheb.
Le roi, suivit du dieu Horus, devant le dieu Osiris et la déesse de l'Occident.
Le roi, suivit du dieu Horus, devant le dieu Osiris et Hathor, la déesse de l'Occident.
Au-dessus de l'architrave qui conduit à la salle F nous avons la représentation finale des douze dieux qui tirent la chaine entrelacée du temps hors de la bouche du dieu Aqen.
Le roi coiffé du némès portant la fausse barbe droite, les deux sceptres de la royauté.
Le roi, suivit du dieu Horus, devant le dieu Osiris et Hathor, déesse de l'Occident.
Porte qui communique avec l'annexe F.
La porte 17 communique avec la salle F qui possède deux colonnes.
La sixième heure du Livre des Portes est le point culminant du voyage nocturne du soleil dans ce recueil. C'est dans cette région du monde souterrain que s'opère le mystère de l'union du ba du dieu solaire, représenté sous la forme du bélier, et du corps du dieu Rê, qui est incarné par Osiris.
Au registre médian le corps de Rê, invisible, est porté par douze dieux dont les bras restent également dissimulés.
A droite le passage du puits.
Au registre inférieur douze momies sont couchés sur une bière en forme de serpent appelée Néhep, qui repose sur des pieds léonins. Le reptile symbolise la la renaissance, la régénérescence. Au registre supérieur l'on y trouve Apophis qui a régurgité les têtes qu'il a avalé. Les dieux qui le tiennent l'empêchent de menacer l'union du ba et du corps de Rê. Ils sont aidés par des dieux armés de bâtons fourchus qui se tiennent près à abattre l'ennemi Apophis.
 Au registre inférieur douze momies sont couchés sur une bière en forme de serpent appelée Néhep, qui repose sur des pieds léonins.
A droite le passage du puits.
 Une des douze momies qui est couchée sur une bière en forme de serpent appelée Néhep, qui repose sur des pieds léonins.
 La barque de Rê halée par quatre divinités.
Le dieu, à l'intérieur d'un baldaquin, est protégé par le serpent Mehem et il est accompagné de Sia et Heqa.
Les morts bienheureux qui dorment sont sortis de la torpeur de la mort par le dieu Rê qui leur donne une nouvelle vie et veille à l'union de leur corps et de leur ba.
Au registre médian le corps de Rê, invisible, est porté par douze dieux dont les bras restent également dissimulés.
Au registre supérieur l'on y trouve Apophis qui a régurgité les têtes qu'il a avalé. Les dieux qui le tiennent l'empêchent de menacer l'union du ba et du corps de Rê. Ils sont aidés par des dieux armés de bâtons fourchus qui se tiennent près à abattre l'ennemi Apophis.
Registre du haut les dieux armés de bâtons fourchus qui se tiennent près à abattre l'ennemi Apophis.
Au registre médian le corps de Rê, invisible, est porté par douze dieux dont les bras restent également dissimulés.
Au registre supérieur l'on y trouve Apophis qui a régurgite les têtes qu'il a avalé.
 Les dieux qui le tiennent l'empêchent de menacer l'union du ba et du corps de Rê.
Au registre médian le corps de Rê, invisible, est porté par douze dieux dont les bras restent également dissimulés.
Au registre médian le corps de Rê, invisible, est porté par douze dieux dont les bras restent également dissimulés.
Au registre supérieur l'on y trouve Apophis qui a régurgite les têtes qu'il a avalé.
 Les dieux qui le tiennent l'empêchent de menacer l'union du ba et du corps de Rê.
Au registre supérieur l'on y trouve Apophis qui a régurgité les têtes qu'il a avalé.
 Les dieux qui le tiennent l'empêchent de menacer l'union du ba et du corps de Rê.
Au registre supérieur l'on y trouve Apophis qui a régurgite les têtes qu'il a avalé.
Les dieux qui le tiennent l'empêchent de menacer l'union du ba et du corps de Rê.
Le registre supérieur se termine avec douze dieux qui tirent la chaine entrelacée du temps hors de la bouche du dieu Aqen.
 On compte autant de boucles que d'heures de la nuit.
Le registre supérieur se termine avec douze dieux qui tirent la chaine entrelacée du temps hors de la bouche du dieu Aqen.
 On compte autant de boucles que d'heures de la nuit. Porte qui conduit vers la salle F et ses deux colonnes.
Le registre supérieur se termine avec douze dieux qui tirent la chaine entrelacée du temps hors de la bouche du dieu Aqen.
 On compte autant de boucles que d'heures de la nuit. Sous la scène est située la porte qui conduit à l'annexe F.
L'annexe F et ses deux colonnes.
L'annexe F forme l'extrémité de la moitié de la tombe. Elle est accessible à partir de la salle E.
Le décor, inachevé, est simplement dessiné au trait noir et corrigé à la peinture rouge.
Les parois décorées représentent les neuvième, dixième et onzième heures du Livre de l'Amdouat.
Les parois ont été abimées par les voleurs en quête de trésors.
L'annexe possède deux piliers qui sont décorés du roi face aux divinités qui sont : Rê-Horakhty, Nefertoum, Atoum et Maât sur un pilier et Osiris, Maât, Ptah-Sokaris et Hathor sur l'autre.
Sur ce pilier le roi face à Rê-Horakhty.
Sur ce pilier le roi face à Osiris.
Sur ce pilier le roi face à Osiris et Hathor.
Sur ce pilier le roi offre l'encens au dieu Osiris.
Sur ce pilier le roi offre l'encens au dieu Osiris.
Sur ce pilier la déesse Maât porte l'ankh aux narines du roi.
Sur ce pilier le roi face à Ptah-Sokaris.
Sur ce pilier le roi face à Ptah-Sokaris.
Sur ce pilier le roi face à Osiris.
La neuvième heure commence à gauche de l'entrée et se poursuit sur la paroi de droite.
Les douze rameurs -un par heure- qui propulsent la barque de Rê sont représentés, ici, pour la première fois dans le Livre de l'Amdouat.
Au repos ils marchent en tenant leur rame à la main, devant la barque qui navigue au registre intermédiaire.
 La barque de Rê.
La barque du dieu solaire au registre médian.
Les douze rameurs.
Au registre supérieur trône un tribunal de douze dieux assis sur le hiéroglyphe du tissu.
Douze dieux assis sur le hiéroglyphe du tissu.
Les douze rameurs.
Le tribunal, du registre supérieur, à pour fonction de rendre la justice et de procurer des vêtements aux bienheureux.
Les douze rameurs.
Registre du haut, les douze déesses qui précédent le tribunal forment l'escorte du dieu Osiris.
Leur rôle est de faciliter l'union d'Osiris et de Rê.
Les rameurs et au-dessus les douze dieux du tribunal.
Les rameurs.
Devant les rameurs trois formes divines couchées donnent de la nourriture aux bienheureux.
Registre du haut, les douze déesses qui précédent le tribunal forment l'escorte du dieu Osiris.
Leur rôle est de faciliter l'union d'Osiris et de Rê.
Trois formes divines couchées donnent de la nourriture aux bienheureux.
Registre du haut, les douze déesses qui précédent le tribunal forment l'escorte du dieu Osiris.
Leur rôle est de faciliter l'union d'Osiris et de Rê.
Forme divine couchée qui donne de la nourriture aux bienheureux.