L'épouse est coiffée d'une perruque tripartite, elle porte une longue robe maintenue par deux bretelles.
Paheri présente deux colonnettes.
Paheri devant les offrandes.
Le banquet.
Le banquet.
Les femmes assises respirent un bouton de lotus, elles reçoivent des offrandes.
Les dames qui assistent au banquet obtiennent le nectar des mains d'un serviteur.
Joueuses de flûte et musiciennes, tapant des mains, pour rythmer la cadence.
Devant la joueuse de harpe un jeune enfant frappe des bâtons.
Devant l'enfant nous rencontrons une joueuse de flûte.
Devant les femmes assises, nous apercevons, des membres de la famille placés devant une table d'offrandes.
Le guéridon est bien garni : pains, boisson, oignons, figues de sycomore, cuisseau de bovidé...
Des membres de la famille placés devant une table d'offrandes.
Le fils en costume de prêtre setem.
La porte, qui conduisait vers les autres salles, est murée.
Paheri et son épouse.
Le singe.
Procession du mobilier funéraire : tabouret, sandales, étoffes etc.
La corniche.
La corniche.
Tombe de Renni.
La tombe de Renni, numérotée EK 7, est d'un grand intérêt, non seulement dans le cadre du site d'El-Kab, mais aussi plus largement parce que c'est une des rares tombes Égyptiennes qui date du règne d'Amenhotep Ier. Du point de vue décoratif, on sent ici l'influence de la fin du Moyen Empire, les canons du Nouvel Empire n'étant pas encore complètement en place.
Textes sur la façade de la tombe, qui est la dernière sur la corniche.
Textes hiéroglyphiques.
Textes hiéroglyphiques.
Le linteau au dessus de la porte forme une corniche à gorge.
Textes et corniche à gorge.
Entrée de la tombe de Renni.
La salle est voûtée, le plafond est peint et une niche est positionnée dans le mur du fond.
Les parois sont abîmées mais elles conservent des scènes intéressantes.
Une frise de khakerous orne le sommet des murs.