Façade de la tombe de Paheri.
Plan de la tombe de Paheri.
Les trois pièces, à droite de la salle principale, ne sont plus accessibles, l'entrée est murée.
La tombe de Paheri, le petit fils d'Ahmès, est la plus intéressante de la nécropole.
 Elle a conservé de nombreuses scènes de la vie quotidienne et des funérailles.
Sur les montants de la porte nous trouvons des textes et des représentations de personnages.
Textes hiéroglyphiques et en haut, à droite, une représentation du défunt.
Sur le côté droit de la porte le défunt est aussi représenté.
Les deux personnages regardent vers l'intérieur de la porte.
Textes hiéroglyphiques, le défunt en haut, qui regarde vers la porte et sur le mur de retour, le défunt agenouillé lève les bras, en signe adoration.
Le défunt et textes hiéroglyphiques.
Le défunt tourné vers la porte.
Le défunt et textes hiéroglyphiques.
La porte d'entrée de la tombe.
La porte d'entrée de la tombe.
Le défunt agenouillé lève les bras en signe adoration.
 Des textes hiéroglyphiques au dessus du défunt agenouillé.
 Le défunt et textes.
Sur un signe hiéroglyphique de la corbeille, à gauche, l'on a dessiné la caricature d'un visage humain, probablement à une époque éloignée des pharaons.
 La salle possède un plafond voûté, une niche contenant trois personnages est positionné au fond de la salle.
Le mur gauche comprend plusieurs registres, ou nous trouvons des scènes de la vie quotidienne, et des scènes de funérailles.
Scènes de funérailles.
Scènes de funérailles, à droite, et scènes de la vie quotidienne.
Mur gauche de la tombe.
Mur gauche de la tombe.
Début du mur gauche de la tombe, après le passage de la porte.
Début du mur gauche de la tombe.
Paheri est représenté debout tenant le bâton de commandement et le sceptre sekhem qui symbolise l'énergie vitale retrouvée.
Paheri contemple les travaux exécutés pendant les saisons propices aux semailles et aux récoltes.
Registre du haut.
Les céréales sont semées, un bovidé laboure la terre qui recouvrira les graines.
C'est au cours de la saison Pérèt, qui correspond à la saison comprise entre l'hiver et le printemps, que l'on préparait la terre après l'inondation. Les charrues étaient tirées par des bovidés, les paysans semaient alors le grain. On labourait légèrement pour ensevelir les graines, ou bien l'on lançait parfois des troupeaux de porcs qui enfonçaient les semences.